-
12 janvier 2021
"Pas d’innovation, sans amélioration de vie, de travail et d’environnement".
-
12 janvier 2021
Rémi Agrinier, entrepreneur de plein air.
-
11 janvier 2021
Les 10 articles qu'il ne fallait pas manquer en 2020.
-
08 janvier 2021
Mister France agricole : l'agriculteur de Machecoul arrive dans le top 10 national.
-
08 janvier 2021
#QUIZZ Avez-vous été attentif à la #météo tout au long de l'année 2020 ?
-
07 janvier 2021
OùTrouverMonFromageDeChèvre.fr, une plateforme digitale pour soutenir les producteurs de fromages de chèvre.
-
07 janvier 2021
L’historien Jean-Marc Moriceau raconte la vie des paysans de 1653 à 1788.
-
07 janvier 2021
Pourquoi des noms d’animaux à la lettre de l’année ?
Le système instaurant une lettre différente tous les ans pour le choix du nom des animaux est ancien. Il date de 1926 et a été mis en place pour tenir à jour le livre généalogique de l’espèce canine. Uniformisé en 1972, il est aussi utilisé pour d’autres espèces animales, en particulier les bovins et les caprins. Après le R en 2020, les chiens, chats et bovins porteront en 2021 des noms commençant par S.
-
07 janvier 2021
En Normandie, la renaissance de 22 races menacées.
-
01 décembre 2020
COMMUNIQUE DE PRESSE - Les principales entreprises de sélection bovine en Europe unissent leurs forces
Le 1er décembre 2020, Evolution, Masterrind et Vikinggenetics (détenue par Faba, Växa et Vikingdanmark) créent une nouvelle coopérative en génétique bovine lait et viande, dénommée Arcowin, représentant 53 000 éleveurs en Europe. Cette nouvelle coopérative a pour vocation d’assurer le progrès génétique le plus durable et le plus élevé possible, au profit des adhérents et des clients du monde entier.Evolution, Masterrind et Vikinggenetics sont des coopératives référentes dans le milieu de l’élevage bovin, avec une implantation forte au Danemark, en Finlande, en France, en Allemagne et en Suède. Les trois coopératives ont été des pionnières dans le progrès et la rentabilité des filières laitière et allaitante, non seulement sur leurs marchés nationaux, mais aussi dans le monde entier.À partir du 1er janvier, Arcowin soutiendra les programmes de sélection laitiers et allaitants d'Evolution, Masterrind, et Vikinggenetics, avec pour objectif principal d'assurer le meilleur progrès génétique possible.«Nous pensons qu'en combinant les ambitions, l'expertise et le devoir de soutenir les secteurs du lait et de la viande, la voie est tracée pour qu'Arcowin puisse jouer un rôle clé dans le développement à venir de ces filières, avec d’éventuels partenaires supplémentaires. Les trois organisations utiliseront Arcowin afin de mieux tirer parti de leurs ressources génétiques et leurs investissements», déclare M. Vincent Rétif, Président du conseil.Arcowin échangera toutes les informations génétiques entre toutes les races et tous les pays. La nouvelle coopérative pourra identifier les meilleurs animaux, et ainsi maximiser le gain génétique dans tous les programmes de sélection conduits par les partenaires d'Arcowin. La génétique laitière sera toujours évaluée et commercialisée sur les bases d’indexation existantes.«Les trois partenaires fondateurs d'Arcowin investissent depuis longtemps des ressources importantes dans la R&D, pour assurer un développement continu et fort de leurs programmes de sélection, de leur production et de leurs services associés. À l'avenir, Arcowin coordonnera et alignera les activités de R&D entre les trois partenaires fondateurs, afin d’optimiser les travaux et de partager les avancées qui en résultent avec les adhérents et les clients », déclare le Dr Josef Pott, le Directeur Général d'Arcowin. »Les trois partenaires fondateurs continueront à opérer séparément dans les domaines de leur administration, de la production, du marketing et des ventes, et conviennent d'étudier d'autres synergies de collaboration. -
30 octobre 2020
Près de 500 000 exploitations recensées pour dresser le portrait de l’agriculture française
L’édition 2020 du recensement agricole se déroulera entre octobre 2020 et avril 2021. Toutes les exploitations de France métropolitaine et des départements d’outre-mer sont concernées.Organisé tous les 10 ans en France et simultanément dans tous les pays européens, le recensement agricole vise à collecter de façon exhaustive un nombre très important de données sur l’agriculture française et ses exploitants. Aucun autre dispositif ne permet d'obtenir des informations avec un tel degré de précision et d'exhaustivité sur ce secteur majeur de notre économie.Précise et complète, cette photographie régulière de l’agriculture française permet d'alimenter des travaux de comparaisons internationales, de recherche, de prospective, d'éclairage pour la conduite des politiques publiques, – mesure des transformations, aides aux agriculteurs, aménagement du territoire, labels de qualité, etc. - et représente une aide précieuse mise à disposition du monde agricole et de ses partenaires dans leurs prises de décision.Une très grande majorité d’exploitants pourra directement répondre au questionnaire via internet, de manière totalement sécurisée. Par ailleurs, un échantillon d’environ 70 000 exploitants en métropole ainsi que l’intégralité des exploitants de Corse et des départements d’Outre-mer recevront la visite d’un enquêteur. Ils seront amenés à répondre, en plus du questionnaire de base, à des questions plus approfondies portant sur certaines thématiques.Le recensement agricole est organisé par le Service de la statistique et de la prospective et les services statistiques régionaux du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation. Les données collectées dans le cadre du recensement agricole ne sont utilisées qu'à des fins statistiques ou des travaux de recherche scientifique ou historique. Leur hébergement sécurisé fait l'objet d'une grande attention.Le recensement agricole c’est simple et rapide.Pour plus d’information, rendez-vous sur recensementagricole2020.fr -
08 octobre 2020
Daniel PERRIN, nouveau Président d’APIS-GENE
Monsieur Daniel PERRIN a été élu à l’unanimité Président de la SAS APIS-GENE, mardi 29 septembre 2020 à Paris.Daniel PERRIN reprend le flambeau de Michel CETRE, éleveur de Montbéliardes retraité, qui a assuré pendant 10 ans la Présidence d’APIS-GENE, portant les messages de mutualisation et d’innovation au service des filières auprès de l’ensemble des acteurs publics et privés.Eleveur de Prim’Holstein en Meurthe-et-Moselle, Daniel PERRIN est très impliqué dans les filières d’élevage en tant qu’’administrateur de la CNE, d’Idele et du CNIEL, au travers de ses fonctions de Secrétaire général de la FNPL et de Président de la Commission Sciences et techniques du lait. Daniel PERRIN est animé par cette même volonté de maintien du collectif et met un point d’honneur à maintenir « la place des filières dans la génétique ». Pour cela, il souhaite « faire connaître la recherche au grand public et valoriser rapidement sur le terrain ».Bernard MALABIRADE, Président d’Allice, a été désigné pour représenter APIS-GENE au niveau du GIS Avenir Elevages et en assure par conséquence la Vice-Présidence. -
05 juin 2020
CP Allice/FCEL : COVID-19 : Toujours mobilisés, restons vigilants
La France revit mais les mesures barrières restent essentielles pour garantir la santé de chacun et maintenir les services dans les élevages. La distanciation physique, le lavage des mains très régulièrement ou l’usage de gel hydroalcoolique, le port du masque par tous dès lors que les distances ne peuvent être respectées, restent de mise.A l’heure du processus de déconfinement et de la reprise de toutes les activités, les entreprises de reproduction animale et de conseil en élevage appellent chacun au devoir de vigilance pour que les conseillers, techniciens, inséminateurs, contrôleurs, peseurs ou pointeurs puissent intervenir dans les élevages en toute sécurité. Elles rappellent qu’il est indispensable de respecter les mesures barrières mises en place depuis le début de l’épidémie qui, même si elles sont contraignantes, ont fait la preuve de leur efficacité.Ces mesures ont permis notamment de maintenir sur presque tout le territoire le service de l’insémination, même pour les ovins et les caprins ; elles permettent aujourd’hui de reprendre toutes les interventions en élevage comme le contrôle des performances et le conseil en élevage, tout en préservant la santé des salariés et des éleveurs qui demeurent un enjeu majeur.En l’état actuel, rappelons que l’épidémie n’est pas terminée, et qu’un cas détecté entraîne systématiquement un isolement de 15 jours, pour tout l’entourage professionnel et familial lorsque les mesures barrières n’ont pas été respectées. Ce qui signifie un arrêt, partiel voire total, de l’activité d’une équipe.Dans la présente phase 2 du plan de déconfinement, le décret n° 2020-663 du 31 mai 2020 actualisant les mesures générales pour faire face à l’épidémie de covid-19 rappelle d’emblée que les gestes barrières et la distanciation physique «doivent être observées en tout lieu et en toute circonstance» et rappelle dans son annexe 1 que « Les masques doivent être portés systématiquement par tous dès lors que les règles de distanciation physique ne peuvent être garanties ».Tous ensemble, nous avons tenu bon. Ne baissons pas la garde jusqu’à la fin de l’épidémie ! -
19 mars 2020
COVID-19 Les entreprises de sélection génétique et de reproduction animales assurent la continuité des activités essentielles à la production agricole
Suite aux mesures de confinement décidé par le gouvernement pour lutter contre la propagation mondiale du Covid-19, les entreprises de sélection génétique et de reproduction animales ont déclenché un plan de continuité d’activité pour répondre aux besoins impératifs des éleveurs et de la production agricole, tout en préservant la santé de leurs salariés, des éleveurs et de leurs familles.
En tant qu’entreprises de services aux éleveurs, pilotées par des éleveurs, notre mission est d’assurer la reproduction des animaux de manière à garantir dans les mois à venir les naissances qui permettront de produire du lait et de la viande.
Dans le respect des mesures barrières sanitaires en vigueur, nous maintenons la continuité de service pour la production de semence, le transport et la livraison des doses de semences, l’insémination, le génotypage ainsi que toutes les activités support indispensables à la bonne réalisation des actes en élevages, dans les stations de mâles et dans les laboratoires. Ce maintien de service est rendu possible grâce à une réorganisation et une simplification du travail des techniciens en recherchant la plus grande autonomie dans la réalisation des actes techniques, permettant de limiter au maximum les situations de contact physique et d’échange avec les éleveurs. La tension qui apparait au fil des jours pour garantir le service nécessite néanmoins que toutes les mesures soient mises en œuvre pour que le technicien intervienne le plus efficacement possible : isolement des animaux, bonne contention, matériel pour gérer les déchets.
Les autres services impliquant des contacts physiques, non indispensables ou qui peuvent être repoussés, sont suspendus jusqu’à nouvel ordre.
Face à cette situation exceptionnelle, nous nous engageons pour ne pas rompre un des maillons indispensables à la production alimentaire et remercions nos salariés pour leur professionnalisme et leur dévouement pour rester aux côtés des éleveurs.
Ces dispositions sont prises à date et sont susceptibles d’évoluer en fonction de la situation épidémique.
-
23 avril 2019
Certificats de qualification professionnelle de la branche : la première formation de professionnels évaluateurs a eu lieu !
Pour accompagner les mutations de l’élevage et renforcer l’attractivité des métiers, les partenaires sociaux de la branche sélection et reproduction animales (SNCIA d’une part, et la FGA CFDT et l’UNSA2A d’autre part) ont signé, le 3 octobre 2017, un accord national relatif à la création de deux Certificats de Qualification Professionnelle (CQP) : Technicien Conseil en Gestion de la Reproduction Animale (TCGRA) et Animateur de Techniciens d’Insémination en Reproduction Animalière (ATCRA).
Dans le cadre du déploiement de ces CQP, les professionnels évaluateurs, qui interviennent dans l’évaluation finale des candidats, ont été formés le 17 avril dernier par OPCALIM.
Soulignons par ailleurs que l’Anféia a obtenu le titre d’organisme évaluateur des CQP de la branche par l’OPCALIM. A ce titre, l’Anféia pilote le dispositif d’acquisition des CQP et prend notamment en charge l’inscription des candidats ainsi que l’organisation et la réalisation des évaluations. Au-delà de l’accompagnement des candidats sur la démarche d’évaluation, l’Anféia vous propose également des parcours de formation sur mesure pour développer les compétences nécessaires à l’obtention du CQP.
Des entreprises ont déjà engagé auprès de certains de leurs salariés des démarches CQP. Pour ces derniers, c’est au cours du dernier trimestre 2019 que les jury finaux auront lieu pour la délivrance de ces CQP.
La machine est désormais lancée !
Pour tout renseignement n’hésitez pas à vous rendre sur la page dédiée aux CQP de la branche sur le site de l’Anféia, en cliquant ici