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08 septembre 2017
INTERBEV réitère sa demande de suspension de l'application du CETA
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04 août 2017
Le ministère de l'agriculture dévoile les présidences des ateliers des États généraux de l'Alimentation
Les États généraux de l'alimentation, lancés le 20 juillet 2017 par le Premier ministre s'articulent autour de deux chantiers, le premier consacré à la création et à la répartition de la valeur, le second portant sur une alimentation saine, sûre, durable et accessible à tous.Quatorze ateliers, dont un atelier transversal, se dérouleront entre la fin du mois d'août et la fin du mois de novembre.Les échanges au sein de ces ateliers associeront l'ensemble des parties prenantes : producteurs, industries agroalimentaires, distributeurs, consommateurs, restauration collective, élus, partenaires sociaux, acteurs de l'économie sociale, solidaire et de la santé, organisations non gouvernementales, associations caritatives et d'aide alimentaire à l'international, banques, assurances …Les ateliers seront présidés par des personnalités dont la compétence et la connaissance reconnue sur ces différentes thématiques favorisera l'émergence de propositions et d'initiatives concrètes et innovantes.Le ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation, pilote des États généraux et l'ensemble des ministères compétents sont en charge de l'organisation de ces ateliers et en seront les rapporteurs ou les co-rapporteurs. -
20 juillet 2017
Ouverture des États généraux de l’alimentation et de la plateforme d'information et de consultation des citoyens
Annoncés par le Président de la République en juin dernier, les États généraux de l’alimentation ont démarré aujourd’hui. Ils visent à :• relancer la création de valeur et en assurer l’équitable répartition• permettre aux agriculteurs de vivre dignement de leur travail par le paiement de prix justes• accompagner la transformation des modèles de production afin de répondre davantage aux attentes et aux besoins des consommateurs• promouvoir les choix de consommation privilégiant une alimentation saine, sûre et durableIls s’organisent en deux chantiers, un premier chantier consacré à la création et à la répartition de la valeur et un deuxième chantier portant sur une alimentation saine, sûre, durable et accessible à tous.Le débat conduit dans le cadre des États généraux de l'alimentation associera l'ensemble des parties prenantes : monde agricole et de la pêche, industrie agroalimentaire, distribution, consommateurs, restauration collective, élus, partenaires sociaux, acteurs de l'économie sociale et solidaire, et de la santé, ONG, associations caritatives et d'aide alimentaire à l'international, banques et assurances.Les citoyens seront appelés à contribuer via une grande consultation publique permettant d’enrichir la réflexion.Elle sera ouverte le 20 juillet et s’achèvera à la fin du mois d’octobre. Quatorze ateliers thématiques se dérouleront entre la fin du mois d’août et la fin du mois de novembre. L'ensemble des attendus et contributions serviront à élaborer un agenda des solutions.Vous pouvez-vous d’inscrire d’ores et déjà sur la plateforme d’information et de consultation des citoyens https://www.egalimentation.gouv.fr/projects pour participez, votez, donnez votre avis, enrichir le débat et contribuer à construire l’agriculture de demain. -
26 juin 2017
Agrément recherche d'Allice, c'est reparti pour 5 ans !
L’agrément Recherche d’ALLICE a été renouvelé pour une nouvelle période de 5 ans de 2017 jusqu’en 2021. ALLICE est reconnue organisme de recherche privé par le Ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation depuis bientôt 10 ans. Cet agrément est une reconnaissance des compétences des équipes R&D d'ALLICE et de la pertinence des programmes qu'elle mène pour le compte de ses adhérents au service de la filière et des éleveurs.
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06|06|17
RESULTATS AAP EGER 2017
A l'issue des deux phases de sélection de l'AAP EGER 2017,
APIS-GENE a sélectionné les programmes :HEALTHYCALF
EFFI-PLUS
LIPOMEC
MIRQTLAIT
RECEPT
SYNCHROMEGAThèses labellisées par APIS-GENE en attente de co-financement :
MIRQTLAIT
SELDIV
SEQUASTAT
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16 mai 2017
L’école des inséminateurs inaugurée vendredi 12 mai près de Tours
L’école de l’Association nationale de formation pour l’élevage et l’insémination animale (Anféia), dont la station animale était auparavant établie dans le Perche d’Eure-et-Loir, à Miermaigne, a inauguré de nouveaux locaux, vendredi 12 mai, à Nouzilly à proximité de Tours (Indre-et-Loire). Soixante-dix personnes issues des partenaires publics et privés d’Allice, l’Union des coopératives d’élevage et d’insémination animale dont l’Anfeia est l’émanation, ont participé à ce rendez-vous qui marque une étape importante dans le déploiement du pôle recherche-développement-formation initié il y a seulement trois ans avec l’ouverture sur le même site d’une station expérimentale de biotechnologie. De fait, « vous êtes allés plus vite que vos intentions et ceci est à l’image du sérieux et de l’enthousiasme que vous véhiculez », a remarqué à cette occasion Jean-Pierre Gaschet, le président de la communauté de commune du Castelrenaudais, la collectivité ayant contribué à la construction du nouveau bâtiment à hauteur de 90 000 euros (coût total 490 000 euros).
Implanté dans le voisinage immédiat des installations du Centre Inra – Val de Loire, ce pôle de recherche, de développement et de formation dédié à la reproduction en élevage répond aux besoins d’une pédagogie moderne en interaction étroite avec les opérateurs scientifiques et techniques de la génétique et des biotechnologies animales. L’Anfeia, qui dispose également de locaux à Paris, collabore ainsi avec l’université de Tours et les écoles d’ingénieurs de la région. « Mettre la formation à côté des activités économiques est au cœur de ce que sera le futur, a souligné pour sa part Isabelle Gaudron, vice-présidente de la région Centre déléguée à la formation professionnelle. Ces écosystèmes de recherche rassemblent des forces et des talents, créent de la valeur et ont largement leur place en zone rurale ». Ce à quoi a souscrit Catherine Beaumont, présidente du Centre Inra Val-de-Loire, en insistant sur la nécessité d’un continuum entre enseignement supérieur, formation, recherche et innovation.
Située à la convergence géographique des bassins d’élevage laitier du grand ouest et des vastes pâturages allaitants de l’intérieur, l’école de formation de Nouzilly accueille sept cents stagiaires chaque année, qui bénéficient d’un réseau de formateurs et d’experts d’horizons très divers : techniciens d’insémination, vétérinaires, partenaires de laboratoire, ingénieurs de recherche, éleveurs… « Depuis 40 ans, notre offre s’est étoffée, enrichie, adaptée pour tenir compte des besoins et de l’évolution des métiers, c'est-à-dire des formations très spécifiques et adaptées à la particularité de nos activités : manipulation d’azote liquide, parage des pieds, sexage des embryons bovins mais aussi des formations plus innovantes pour tenir compte des nouveaux enjeux sociétaux et des ruptures technologiques », a remarqué pour sa part Daniel Gay, président de l’Anfeia.
Dans ces nouvelles installations dont la construction vient de s’achever, l’établissement se donne les moyens d’anticiper en offrant de nouvelles conditions d’apprentissage aux stagiaires du certificat d’aptitude aux fonctions de technicien d’insémination (Cafti) ainsi qu’aux stagiaires de la formation continue : salles de cours et de travaux pratiques, e-learning, écrans interactifs, tablettes… Jean-Gérard Paumier, président du conseil départemental d’Indre-et-Loire, également présent vendredi lors de l’inauguration, a d’ailleurs précisé que les collectivités territoriales travaillaient de concert à un vaste plan de déploiement du numérique dans le département d’Indre-et-Loire. Michel Cètre, président d’Allice, a pour sa part tenu à « saluer la clairvoyance et la détermination des administrateurs d’Allice qui continuent, malgré les crises sanitaires et économiques, la concurrence et un monde de l’élevage en pleine incertitude à mutualiser les moyens et les compétences, d’investir et de préparer un avenir durable. »
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30 mars 2017
ACTIVE-GOAT, un programme pour mesurer les capacités d’adaptation des chèvres
En partenariat avec Capgènes, l’INRA a démarré un programme portant sur les capacités d’adaptation des chèvres appelé « ACTIVE-GOAT », soutenu par APIS-GENE. Il s’agit d’une approche interdisciplinaire pour mieux comprendre et prédire les relations entre les capacités d’adaptation, la longévité de production et l’efficacité à long terme des ruminants laitiers.
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21 décembre 2016
Des lauriers sur la tête de l'UMT 3G pour la sélection génomique des bovins
Le laurier d’impact de la recherche agronomique a récompensé mardi 13 décembre 2016 les travaux de l’équipe « Génétique et génomique bovine » de l’Unité mixte technologique 3G regroupant l’unité de recherche « Génétique animale et biologie intégrative » de l’Inra de Jouy-en-Josas, l’Institut de l’élevage et l’équipe de généticiens d’Allice. Grâce aux travaux de l’équipe « Génétique et génomique bovine », une révolution se joue dans les élevages. L'équipe élabore pour la filière de nouvelles méthodes de sélection des reproducteurs et permet d’améliorer la compétitivité de l’élevage, la qualité des produits, le bien-être animal et contribuera à réduire les impacts de l’élevage sur l’environnement. Des travaux dont la portée a été décuplée depuis la révolution génomique.
Un taureau d'avance
Plus rapide, moins coûteuse, la sélection génomique met à disposition une gamme plus large de reproducteurs et favorise ainsi la diversité génétique. Elle permet de choisir les reproducteurs sur des caractères variés et complexes, y compris des caractères difficiles à mesurer ou peu héritables (comme la fertilité ou la santé) et donc difficilement accessibles en sélection conventionnelle. Appliquée à plus de quarante caractères, la sélection génomique permet de satisfaire des objectifs très diversifiés, y compris des agricultures alternatives. A l'avenir, elle sera étendue à des caractères nouveaux comme la composition fine du lait ou la tendreté de la viande ainsi qu’à des critères environnementaux comme l’émission de méthane par les vaches. La santé animale est privilégiée pour améliorer la longévité, le bien-être et réduire l’utilisation d’antibiotiques : résistance aux mammites, santé des pattes, maladies métaboliques, ou anomalies génétiques. Par ailleurs, la sélection sur le gène « sans cornes » permettra d’éradiquer les pratiques d’écornage.
« Nous avons vécu une aventure géniale ! Avec une dynamique de groupe extraordinaire et une émulation permanente. Au quotidien, beaucoup de réunions, mais dans cette équipe très unie, on trouve toujours de l’aide », rappelle Didier Boichard, entraîneur de ce collectif de trente personnes. Soutenu par les financements de l’ANR et d’APIS-GENE (dont les actionnaires financeurs sont le CNIEL (filière lait), Interbev (filière viande), Allice (reproduction-sélection) et la CNE (production), ce groupe s’est forgé une culture commune en œuvrant à la pointe de la science – avec à la clé plus de soixante publications scientifiques – tout en étant à l’écoute permanente des besoins de la filière.
Les membres de l'équipe :
- Inra : Didier Boichard, Anne Barbat, Mekki Boussaha, Pascal Croiseau, Vincent Ducrocq, Cécile Grohs, Rachel Lefebvre, Florence Phocas, Marie-Pierre Sanchez, Thierry Tribout, Eric Venot, Aurélie Vinet (Gabi), Christine Bertrand, Alexis Demeure (CTIG), Marie-Yvonne Boscher (GIE Labogena)
- Allice : Sébastien Fritz, Marine Barbat, Aurélia Baur, Aurélien Capitan, Chris Hozé, David Jonas, Romain Saintilan
- Institut de l'élevage : Sophie Mattalia, Iola Croué, Amandine Launay, Julie Promp, Armelle Govignon-Gion
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02 décembre 2016
La filière caprine dévoile son nouveau programme de sélection, Gènes Avenir
La filière caprine dévoile son nouveau programme de sélection, Gènes Avenir, qui propose une offre reproduction-sélection rénovée, modulable en fonction des besoins des éleveurs et de la filière. Ce programme s’adresse à tous les éleveurs caprins et s'appuie sur des valeurs fortes tels que le mutualisme et le collectif.Il se veut réactif, personnalisé et innovant. Il s'attachera à présenter l’intérêt économique de l’investissement en génétique et à améliorer la complémentarité des réseaux de techniciens.Pour accompagner cette nouvelle ambition, le programme se dote d'un nouveau logo et d'un slogan «Avançons ensemble» qui traduit la volonté d’aller de l’avant et de mettre les éleveurs au centre des réflexions et des préoccupations de l'organisme de sélection. -
24 novembre 2016
La filière ovine laitière française bascule dans l’ère de la sélection génomique
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24|10|16
L'appel à projets EGER est ouvert jusqu'au 31 janvier 2017
APIS-GENE lance son appel à projet Efficacité Globale de l’Elevage des Ruminants (AAP EGER 2017), sur la base de Manifestation d’Intention (MI). La Manifestation d’Intention vous sert de document de travail. En tant que porteur de projet, remplissez-la en concertation avec vos futurs partenaires de programmes. Vous serez ensuite amené à la soumettre en ligne. La clôture de soumission de ces MI est fixée au 31 janvier 2017.
Si vous souhaitez soumettre votre projet, vous pouvez télécharger la Manifestation d'Intention et en savoir plus en suivant le lien ci-dessous.
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03 mai 2016
Progressive Blindness : Mise au point d'un test génétique pour identifier les bovins porteurs d'une anomalie qui les rend aveugles
Les chercheurs d’Allice et de l’INRA ont identifié une nouvelle mutation responsable de la perte progressive de la vision chez les bovins. Le service génétique d’Allice a mis au point un test pour identifier dès le plus jeune âge les animaux porteurs de cette anomalie.
Les travaux ont été financés par l’ANR (Agence Nationale pour le Recherche) et APIS-GENE (professionnels des filières ruminants pour le financement de la Recherche : Allice, CNE, CNIEL et INTERBEV) dans le cadre du programme de recherche BOVANO (Michot et al., 2015).
Nous vous invitons à télécharger le communiqué de presse ci-dessous pour en savoir plus.